Ma rencontre avec Elisabeth Barmarin.

Belle femme à l’apparence délicate, farouche même, égarée me sembla-t-il, dans la presque démesure de son atelier, déclinant avec un aimable entêtement que je la mémorise dans mon boîtier.

Et puis… l’apparition d’une statue d’homme, imposante, figée, tellement émouvante dans son habit de terre, la statue d’un Roi.

Plus tard, plus loin, ma visite à la fonderie, une traversée chez Héphaïstos…

La noble statue, mutilée, démembrée, à la merci de l’alchimiste que mon objectif suivait d’un œil surpris. De creuset en cubilot, de fusion en coulée, de solidification en démoulage, l’auguste figure émergea, superbe dans son costume de bronze sombre.